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Ile-de-France

On ne mash pas ses mots à moto

Depuis maintenant quelques années, la marque chinoise s’est imposé dans la catégorie des motos 125cm3 vintage. Des deux roues qui séduisent pour leurs looks et leurs prix contenus.

Une mashine à succès…

Sorti en France en 201, le premier modèle de Mah a rapidement conquit un public hétéroclite qui souhaiter renouer avec l’esprit des seventies. Cela tombe bien, celui-ci se nomme Seventy. Pour les amateurs de Triumph Bonneville qui ne possèdent pas le permis gros cube, la Mash s’est imposée comme l’engin idéal.
Légère et maniable, cette moto sans prétention remplit pleinement son rôle : arpenter les rues urbaines avec insouciance et style. Attention toutefois, sa puissance modérée engendre des vibrations importantes à haut régime. Pour les intéressé qui désirent passer aux niveaux supérieurs, la marque chinoise propose également des motos de 250 et 400cm3.

Confrontée à une concurrence accrue

Face au phénomène Mash, l’année 2015 a pu assister à la sortie de deux autres modèles aux looks très similaires : la Bullit Cooper et l’Orcal Astor. Moins puissante que ses concurrentes, cette dernière se distingue en termes de qualité et de finition, notamment avec sa visserie réalisée inox.
Par ailleurs, de nouvelles marques apparaissent lentement mais sûrement au sein du paysage de la 125. Masai notamment, vient de sortir plusieurs modèles de 125cm3 à des tarifs défiant toute concurrence. Seule interrogation : seront-ils à la hauteur des espérances qu’ils suscitent ? L’avenir nous le dira.

Après l’acquisition de votre deux roues rétro, n’oubliez pas de souscrire une assurance moto ou une assurance scooter adaptées à l’utilisation de vos véhicules.